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Reporters sans frontières (RSF) condamne fermement les agressions dont ont été victimes une quinzaine de journalistes indonésiens lors de leur couverture d’une vague de manifestations contre une nouvelle loi renforçant le rôle de l’armée dans les affaires

Reporters sans frontières (RSF) demande la libération immédiate de Li Yanhe, animateur de radio et éditeur de livres détenu au secret depuis deux ans et dont la condamnation à trois ans de prison a été confirmée par les autorités de Pékin le 26 mars.

Une coalition d’organisations internationales et locales de défense de la liberté de la presse, dont Reporters sans frontières (RSF), a appelé le président philippin Ferdinand Marcos Jr. à libérer immédiatement la journaliste Frenchie Mae Cumpio.

RSF condamne fermement cette décision, qui met directement en danger les employés de RFA à l’étranger et pourrait entraîner l’expulsion de 30 journalistes basés aux États-Unis, dont certains risquent des persécutions dans leur pays d’origine.

RSF dénonce la perquisition dans les locaux du média en ligne indépendant Noorog, ainsi que l'interrogatoire de ses journalistes et la confiscation de leur matériel.

Alors qu'ils couvraient l’élection législative partielle de Kawempe, au nord de la capitale ougandaise Kampala, au moins 18 journalistes ont été violemment attaqués par les forces de l’ordre. RSF condamne fermement ces agressions violentes.

En France, l’extension du groupe Bolloré et le départ massif de journalistes de médias d’information a mis au jour une pratique : des centaines d'entre eux ont dû signer des clauses de “confidentialité”, de “non-dénigrement” ou encore de “loyauté”.

À la suite du démantèlement de l’Agence des États-Unis pour les médias mondiaux (United States Agency for Global Media ou USAGM), ordonné par l’administration Trump, RSF alerte sur le sort de neuf journalistes.