Désinformation et propagande

Un an après le lancement du satellite Svoboda, la lutte contre la propagande russe n'a jamais été aussi importante. Le projet Svoboda, développé par Reporters sans frontières (RSF), propose actuellement 12 chaînes de télévision indépendantes.

Depuis juillet 2024, Reporters Sans Frontières (RSF) est la cible d’une campagne de désinformation. Ces contenus utilisent la crédibilité de RSF pour manipuler l’opinion publique afin de légitimer le discours du Kremlin.

A travers ses campagnes prioritaires, RSF sensibilise le public et les décideurs aux enjeux majeurs de la liberté de la presse et du droit à l’information.

Reporters sans frontières (RSF) publie son rapport d’activité portant sur l’année 2024. Il met en lumière l’ampleur des activités de l’organisation à un moment où la liberté de la presse a subi, dans le monde, une marche en arrière spectaculaire.

Les interdictions désormais imposées aux médias révèlent la stratégie d’étouffement de la presse orchestrée par les autorités talibanes.

Dans l'affaire Novaïa Gazeta contre Russie, la Cour européenne des droits de l'homme a condamné la Russie pour son utilisation du prétexte de “menace pour la sécurité nationale”

Depuis plus d'un an, la plateforme en ligne International Reporters, financée par les réseaux d’influence du Kremlin, détourne les codes du journalisme au profit de la désinformation russe.

Au Caire, un bureau des médias d’État russes RIA Novosti et Sputnik centralise depuis dix ans la couverture de l’actualité internationale en langue arabe.

Pour la deuxième année consécutive, le Forum économique mondial de Davos classe la désinformation en tête des risques à court terme pour les sociétés.