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Reporters sans frontières (RSF) dénonce une manœuvre politique pour réduire au silence un journaliste et une nouvelle instrumentalisation de la législation antiterroriste. ​​​​​​​

​​​​​​​La “hotline RSF violences urbaines” a pour objectif de  répondre aux besoins urgents des journalistes qui couvrent la montée des tensions après le décès de Nahel, tué par un policier le 27 juin à Nanterre.

Au moins 18 professionnels de médias ont été agressés lors des journées et nuits de révoltes, déclenchées par la mort du jeune Nahel, tué par un policier à Nanterre.

RSF dénonce une forme de censure préventive, par la restriction administrative de l’accès à la donnée.

À l’occasion du 10e anniversaire de l’arrivée au pouvoir du président Abdel Fattah al-Sissi, Reporters sans frontières (RSF) dévoile les visages et les profils de 16 des 18 journalistes actuellement incarcérés et demande leur libération immédiate.

Alors qu’Abdel Fattah al-Sissi s’apprête à fêter ses 10 ans ans à la tête de l’État égyptien, Reporters sans frontières (RSF) dresse le bilan d’une répression implacable qui a refaçonné le paysage médiatique du pays.

Trois ans après l’entrée en vigueur de la Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong, une délégation de RSF s'est rendue en mission dans le territoire pour y évaluer les besoins des journalistes.

Alors que l'emblématique station Citizens' Radio est contrainte à la fermeture après presque deux décennies de harcèlement, RSF appelle le gouvernement hongkongais à mettre fin à ses politiques répressives à l’encontre des médias indépendants.

Le propriétaire d’une des principales chaînes indépendantes haïtiennes, Pierre-Louis Opont a disparu le 20 juin à Port-au-Prince, une semaine après l'enlèvement, pendant quelques heures, de son épouse, la journaliste Marie-Lucie Bonhomme.