« Seule une presse libre peut leur faire mal »

A l’occasion de la Journée internationale de la liberté de la presse, le 3 mai 2010, Reporters sans frontières et des journalistes iraniens en exil ont manifesté devant l’ambassade d’Iran, afin de réclamer la libération des journalistes et netcitoyens actuellement détenus en République islamique d’Iran. A coups de slogans tels que « Journalistes en Iran, liberté maintenant », « Mahmoud prédateur » , ils ont déversé des centaines de boulettes de papier dans la cour de l’ambassade, symbole de la campagne lancée par l’organisation intitulée « Seule une presse libre peut leur faire mal ». Etaient également présents à ce rassemblement le journaliste tunisien Taoufik Ben Brik récemment libéré après six mois de détention, Fabrice Drouelle, journaliste à France Inter et vice-président de Reporters sans frontières, et le photographe iranien Reza Deghati.
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Updated on 25.01.2016