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La presse non officielle constamment mise à l'épreuve

Cuba reste, année après année, le pire pays d’Amérique latine en matière de liberté de la presse. L’élection de Miguel Díaz-Canel en 2018, après 59 ans de répression castriste, n’a pas changé la donne. Le régime cubain maintient un monopole quasi total de l’information et tente par tous les moyens d'entraver le travail de la presse indépendante : arrestations arbitraires, menaces d'emprisonnement, persécution et harcèlement, perquisitions illégales de domicile, confiscation et destruction du matériel journalistique font parti du quotidien des journalistes qui ne suivent pas la ligne officielle castriste. Les blogueurs et journalistes indépendants sont maintenus sous la surveillance d’agents qui tentent de réduire leur liberté de circulation, n’hésitent pas à les interpeller et à effacer les informations en leur possession. Les autorités contrôlent également la couverture médiatique des journalistes étrangers en octroyant des accréditations de manière sélective et en expulsant ceux considérés comme « trop négatifs » à l’encontre du régime. L’amélioration progressive de l’accès à internet sur l’île est l'un des rares motifs d’espoir pour l’avenir de la liberté de la presse à Cuba.


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