美洲
牙买加
Un quasi sans-faute

La Jamaïque se caractérise par un grand respect en matière de liberté de la presse et continue de figurer parmi les pays les plus sûrs au monde pour les journalistes. Les agressions physiques sont rares, et aucun acte de grande violence n’a été commis contre un professionnel des médias au cours de ces dix dernières années.

Toutefois, les autorités jamaïcaines ont fait l’objet de critiques au début de la pandémie de Covid-19, lorsque les restrictions mises en place étaient perçues par les journalistes comme des entraves à leur travail, à un moment où le public avait le plus besoin d’informations fiables. Avec l’Association de la presse de la Jamaïque (Press Association of Jamaica, PAJ), les rédacteurs en chef et les directeurs des principaux organes médiatiques du pays ont appelé le Premier ministre Andrew Holness à redéfinir les règles de confinement public, qui limitait les déplacements des présentateurs radio et de télévision, des journalistes, des caméramans, des techniciens et d’autres professionnels des médias.
Le chef du gouvernement avait déjà suscité des réactions négatives, fin 2019, pour ses remarques suggérant que les journalistes ne devaient pas s’en tenir aux faits ou à la vérité et qu’une presse libre leur permettait de “prendre la position qui leur convenait” - des commentaires que la PAJ a qualifié de “représentation troublante et fausse du travail de la presse”.

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